Il joue, compose et improvise comme il respire. Vit la musique comme une offrande, le concert un rite cannibale. Fazil Say a imposé son Mozart désinhibé, dont il a déhanché la célèbre « Marche Turque » façon jazzy. Comme sa musique entre Orient et Occident, il défend une culture ouverte sur le monde.
Programme
- SAY : Chamber Symphony pour orchestre à cordes, opus 62
- MOZART : Concerto n°12, en la majeur, K 414
- SAY : Yürüyen Kösk (La Maison déplacée) Hommage à Atatürk, opus 72 (2017), pour piano et cordes
- MOZART: Symphonie n°29, en la majeur, K 201
BIS
- CHOPIN : Nocturne n°20 en do dièse mineur, opus posthume