En trente ans, le chef hongrois a assis la réputation de son Budapest Festival Orchestra. L’homme prône aussi une liberté de conscience et une éthique, dont témoigne le musicien : Rossini sans apprêt, Schubert sans romantisme, que rejoint le piano naturellement mozartien d’Emanuel Ax.
Rossini
La Pie voleuse, ouverture
Mozart
Concerto pour piano et orchestre n°17 K.453
Rossini
L’Italienne à Alger, ouverture
Schubert
Symphonie n°4 D.417